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Giovanni Trapattoni, Président d'un jour au Festival de Cazoeula Cantu

Quelle est la nourriture comme que les Italiens? Certes, je ne me attends pas à donner une réponse qui correspond le consensus de tous. Je ne exprimer mes pensées, celui d'une femme célébrant le monde de saveurs et de traditions, et la vie quotidienne, comme un compagnon, la passion et la chaleur qui transmet la nourriture. Nous sommes chanceux de vivre dans un pays riche productions et esprits créatifs, qui nous permettent de profiter des nombreux plaisirs qui font la cuisine italienne célèbre dans le monde entier. Bien, Je crois que les Italiens comme moi aiment une cuisine conviviale à base de produits de la terre. Une cuisine est accessible à tous, qui exprime le territoire et le peuple dont elle est issue.

Vendredi 6 Février a eu lieu à La Garibaldi Cantu la dégustation finale de la 3e Festival des Cazoeula. Huit restaurants dans la course ont concouru pour le prix "Cazouela of Now"Pour le meilleur plat de choux et de tomates côtes: l'Canturina triade. Une plaque du populaire longue histoire traditionnelle Lombard. Une préparation typique de l'hiver de cuisine dont le nom peut être trouvé écrit de différentes façons: cassouela, cassuola l'casouela. De toute façon, la recette a comme ingrédients porc (nervures et le zeste) accompagné de chou cuit, épices, vin rouge et le concentré de tomates. Sur, pour mieux digérer la cazoeula est conseillé de boire avant de déguster un verre de grappa. Personnalisé né de l'ingéniosité paysannerie… grandes chaussures et le cerveau jusqu'à!

Le cazouela

Le cazouela

  • Restaurants dans la course.

Assisté à l'événement: Le Ladder, Le Giardinet, Les Oaks, Le Garibaldi, l'Osteria del km 0, La Ferme Urtulan, La Bastide Mattia, et Trattoria Rest.

  • Le jury.

Experts enogastronomes, communicateurs dans l'industrie, cuisiniers et amateurs, ont eu un protagoniste en tant que président d'honneur de l'histoire du football italien: Giovanni Trapattoni.

Dans jury Claudio Bizzozero Maire de Canterbury, Elda Borghi cazouela officielle marraine Canturina, Bruno Profazio rédacteur en chef adjoint du journal The Province, John Bettio entrepreneur, Nicola Gini journaliste et amoureux de la cuisine et du vin, Alberto P. Schieppati directeur de la rédaction du magazine Arthur, Rocco Lettieri expert de longue date partie enogastronomico, Antonio Silva professeur d'histoire et de la philosophie, Sergio Mauri vice-président de l'Association des chefs de Côme, Carlo Pozzoni photojournaliste et éditeur, Andrea Marconetti et Par Maurizio Rosazza à la fois de l'édition des deux finalistes de Masterchef, Franco Cattaneo passionné de cuisine, Emanuele Mambretti passionné par les traditions locales, Maurizio Casarola journaliste du journal The Province, et Aldo Nenzi de longue date gastronome. J'ai oublié, dans le jury il y avait aussi une femme passionnée dans l'histoire, traditions et gastronomie, qui communique le territoire et ses produits en se concentrant sur les personnes, est appelée Cynthia Tosini. 😉

Bien, pendant les huit échantillons que je ai appris à connaître mieux, entre autres jurés, Origines Homme Sport Bergame qui a montré une grande sympathie et disponibilité. Beaucoup de similitudes et de choses à raconter, parce que pour de nombreuses années je ai vécu dans sa propre commune. Ensemble, plus juger les plats, il était question de traditions, des recettes locales typiques, et… il est très sourire!

Giovanni Trapattoni

Giovanni Trapattoni

Rullo di tamburi

Dans la 3ème édition du Festival de Cazoeula Cantu, avec 334 points gagne "Cazouela of Now" le restaurant La Bastide Mattia. En second lieu,, Le restaurant Garibaldi 332 points. Enfin, a remporté la troisième place l'Osteria del km 0.

Félicitations à tous et…  Ode à Cazoeula!

Du te Cazoeula, choux de tomate et la nervure, Canturina puissante triade!
Ne’ Novembre, il «mois de décembre sont vous préférée,
tous les domaines couverts de givre en Janvier, glace le chou dans un travail silencieux furieux.
Le fermier de la faim et de la maîtrise sacrifie le cochon.
Pour vous le chou a abandonné la terre mère, le cochon a baissa la tête.
Le feu brûle les fards à joues casseroles. Une orgie est consommée dans la cuisine: Verza, Cotenna et Costina!
Soudain vient votre amant: la polenta!
Vous accompagne sur votre voyage. Vous excite!
À la table attend avec espoir l'ancien Monza.

Ristoranti in gara nel Festival della Cazouela

dans la photo d'en-tête de Charles Pozzoni



L'arbre de la crème glacée ... une histoire d'amour pour la Terre!

Cette terre a besoin de notre amour et de protection. Comme le dit l' Carlo Sgorlon, la terre est la mère, la terre est le début et la fin, e tutto il resto non è che una favola. Tornare a vivere in armonia con la natura, la suite de ses rythmes, dans un environnement, si può ancora. Si deve, parce que nous faisons partie d', parce que c'est comme trahir nous trahir.

L 'Arbre de la crème glacée il est un exemple concret. Une société fondée il ya sept ans engagée dans le développement durable de la culture, qui a fait sa marque de fabrique la promotion des petits producteurs Brianza, sans pour autant négliger l'excellence de notre territoire. La recherche de matières premières, l'appréciation de la notion de saisonnalité, il km 0, connaissance directe des producteurs avec une courte chaîne, la découverte de saveurs perdues, l'utilisation de sources renouvelables d'énergie nécessaire à la crème glacée... Les raisons qui m'ont conduit à leur connaissance.

Je suis arrivé à les rencontrer pour la première fois lors d'un rassemblement à Milan dans lequel elles sont présentées avec leur "panier de panneaux solaires".  Ideato con la collaborazione di giovani ingegneri, refroidit leur crème glacée avec des rayons de soleil. Monia et Alexander ont développé leur passion et leur créativité, assurant la continuité de la tradition de la famille. D'abord avec le siège social à Barlow, puis à Seregno et enfin dans Cogliate. Monia mi ha raccontato di un loro sogno che a breve si realizzerà… l’apertura di una nuova sede a New York.

Era venuto il momento di andare a trovarli. E quindi come dico io,  pronti… via!

Andai da loro un caldo pomeriggio di una domenica di qualche settimana fa. La prima impressione al mio ingresso fu il ricordo di una bottega di campagna dall’atmosfera dei bei tempi. Qui e la vasi di piantine, libri sparsi, un angolo dedicato ai bambini per insegnare loro la differenza tra un frutto biologico e un frutto trattato. Per avvicinarli alla natura anche con gesti semplici, come quello di regalare in primavera delle bustine contenenti semi da piantare nelle vaschette biodegradabili del gelato.

Monia e Alessandro mi guidarono nella visita raccontandomi la loro storia e soprattutto la loro filosofia. Quando poi arrivammo a parlare degli ingredienti dei loro gelati,  si alzò letteralmente la mia famosa “antenna”.   Un, perché andammo a toccare un argomento a me molto caro, le erbe benefiche e i frutti dimenticati.

Non mi credete? Lire un peu’ qui…

  • Gelato alle etrbe aromatiche di Montevecchia.
  • Gelato alla Salvia Ananas, una specie di Salvia dal profumo di ananas.
  • Gelato all’Azzeruolo, un frutto dimenticato.
  • Gelato al Frassino da manna, antica coltivazione dalle proprietà decongestionanti del fegato e dall’azione sedativa della tosse.
  • Gelato alla Viola del pensiero, dalle proprietà benefiche per l’apparato renale.
  • Gelato al Garofano cinese, utile per prevenire le vertigini, il nervosismo e le palpitazioni.
  • Gelato alla Bocca di leone, utilizzata per fare i gargarismi nelle ulcerazioni della bocca.
  • Gelato alla Spirulina, un’alga coltivata da un unico produttore in toscana, e che in Africa è chiamata l 'Alga della vita per le sue proprietà.

I gusti dei loro gelati rispecchiano la loro creatività. Una continua evoluzione dal dolce al salato, dai più classici ai più sorprendenti… Come per il gusto ai formaggi locali della tradizione di piccoli produttori, o a quello agli ortaggi di stagione, o alla panna acida e salmone inacidito con verdello di Siracusa (varietà di limoni).

Un gusto molto particolare è quello della “Spiga e Madia”. Questo gelato ha trovato ispirazione dal progetto sviluppato in Brianza di coltivare mais per ricavare farina integrale. Un gelato con un latte che deriva da un cereale antico ricco di folati, sostanze che prevengono il rischio d’infarto.

Non hanno dimenticato neanche chi, pour intolleranze al lattosio, poteva gustarsi solo i gelati alla frutta. I gusti alle creme preparati con latte vegetale sono dedicati a loro. Per ora sono dolcificati con il fruttosio, ma tra poco lo saranno con la stevia.  Sapete che pianta è la Stevia?  Con l’amico Giustino Catalano recentemente ho pubblicato un pezzo che ne racconta delle belle!  Ne consiglio vivamente la lettura!

Ma ora voglio farvi conoscere meglio Monia e Alessandro. A loro la parola…

  • Le nostre origini, tutto parte da li… Cosa vi ha spinto ad intraprendere l’attività di artigiani del gelato?

Siamo una seconda generazione di gelatieri, anche se abbiamo capito che era il lavoro che volevano veramente fare, dopo che ognuno di noi figli ha seguito percorsi universitari diversi. A un certo punto la passione ha chiamato, e abbiamo seguito il cuore che ci diceva di “fare gelati” secondo una filosofia molto precisa: materie prime biologiche di piccoli produttori che conosciamo e abbiamo visitato personalmente, frutta maturata sulla pianta dal sole e colta solo nel suo momento migliore, filiera corta, km0, prodotti equosolidali, tutto nel pieno rispetto della natura compresi i packaging che utilizziamo, rigorosamente biodegradabili. Il’ nato così l’Arbre de la crème glacée.

  • Tradizione ed innovazione… Utilizzate ancora pratiche tramandate dall’esperienza familiare?

Sì moltissimo, è ancora molto attuale come le infusioni per alcuni gusti e la lavorazione delle uova. Poi fortunatamente la tecnologia “del freddo” ha fatto passi da gigante e ora ci aiuta molto di più rispetto a 30 il ya des années.

  • A “bugiardino” goloso: posologia e modalità d’uso del… gelato?

Assumere in grande quantità tranquillamente ogni giorno! Se un gelato è fatto bene ha pochissimi grassi e “buoni”; i gusti alle creme hanno solo il 5-8% graisse (panna e latte, niente grassi vegetali o peggio ancora grassi vegetali idrogenati che non vengono smaltiti dal nostro fisico come i grassi “buoni”, ma occludono le nostre arterie), mentre la frutta nulla. Gli zuccheri sono circa al 28%, veramente poco se pensiamo che una merendina industriale ha il 18% di grassi e il 49% di zuccheri.

  • Da appassionata di vino se vi chiedo un gelato al… vin, che ne dite?

Diciamo che è buonissimo, ed è una bella esperienza che spesso proponiamo in gelateria. Uno dei nostri preferiti è la Ciliegia con il Moscato di Scanzo.

  • La creatività non ha limite. Sogni e progetti nel cassetto?

Il nostro sogno è sempre quello di continuare a fare gelato con la contaminazione esistente tra noi che “trasformiamo” un ingrediente e chi questo ingrediente lo coltiva in modo responsabile, tra noi quindi e il mondo contadino/agricolo, perché siamo anelli della stessa catena. Ci piace vedere maturare la “nostra” frutta, condividere i problemi quotidiani di un raccolto che può andare bene o male a seconda della condizioni climatiche.  Lavoriamo così in Brianza e dal prossimo anno la nostra avventura continuerà anche a New York, una bella sfida.

  • Gelati abbinati ai piatti. Me ne raccontate qualcuno?

Ce ne sono tantissimi… Gelato di Fatulì della Val Saviore con miele di melata e sorbetto ai fichi fioroni su crostone di pane di lievito madre. Gelato di fagiolini menta selvatica e aceto di mele, con tagliata di roast-beef al sale di Cervia. Gelato al peperone di Carmagnola con Robiola di Roccaverano. Gelato ai funghi porcini con riso mantecato…

  • Vi rifornite da piccoli produttori. Qual è la vostra esperienza nella scelta e nell’approvvigionamento?

Innanzitutto la qualità non è paragonabile a quella di nessuna “grande distribuzione”.  E’ solo un po’ complicato in termini logistici.

  • Organizzate Laboratori di gelato per i bambini. Quali argomenti trattate?

I Laboratori di gelato sono sempre una grande soddisfazione.  Attraverso i cinque sensi annusiamo le fragole (generalmente facciamo questo gusto), cercando di spiegare la differenza tra un aroma “finto” e uno “vero”. Parliamo di stagionalità (le fragola a dicembre è meglio lasciarle al supermercato!), parliamo di frutta non necessariamente perfetta, perchè a noi interessa che sia buona, rossa e matura…

  • Gelato d’estate o… gelato tutto l’anno ?

Assolutamente tutto l’anno! I “veri” amanti del gelato lo gustano maggiormente d’inverno che d’estate!

Oh amabile sorbetto, nettare prezioso e delicato,
benedetto colui che t’ha inventato…
Deux choses dans ce monde méritent l'honneur premier
crème glacée sorbet et amour chaud ...

Carlo Goldoni (L'amour dans la caricature 1761)

 

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